# 13 – Une lueur, une perspective ? Envie de printemps, deuil de printemps

16 avril 2020

Lire Proust au temps du coronavirus # 13 – 16 avril 2020

Au début de la cinquième semaine de vie sans vie du confinement, une fenêtre s’entrouvre et l’on croit apercevoir une lueur au loin. Et cela nous paraît curieux car bien évidemment, à ce jour, rien n’est moins sûr quant à l’issue. Et pourtant… 

Lire la suite de « # 13 – Une lueur, une perspective ? Envie de printemps, deuil de printemps »

# 11 – Le voyage du narrateur à Balbec : «Je sentais qu’au contraire cette couleur n’était ni inertie, ni caprice, mais nécessité et vie. » Quand de nouvelles métaphores nous arrivent, Rabelais et les mots qui fondent comme neige

8 avril 2020

Lire Proust au temps du coronavirus # 11 – 8 avril 2020

Trois semaines déjà se sont écoulées depuis le premier jour de vie sans vie, et en ces premiers jours de la quatrième semaine de confinement, on se dit que le temps passe étrangement vite, entre torpeur et vitesse. En ces premiers jours de la quatrième semaine, on décide de revenir à Proust et au voyage que le narrateur fait en train vers Balbec. On s’en souvient, outre l’expérience temporelle qui est au cœur de La Recherche, c’est aussi à une expérience esthétique que Proust nous convie. Alors on décide de s’arrêter à cette expérience, le temps d’un texte. Le temps du passage d’une réalité perçue ou mémorisée à sa transposition dans un tableau ou dans l’écrit. L’écriture, et pas seulement le cinéma, est aussi un art du montage. 

Lire la suite de « # 11 – Le voyage du narrateur à Balbec : «Je sentais qu’au contraire cette couleur n’était ni inertie, ni caprice, mais nécessité et vie. » Quand de nouvelles métaphores nous arrivent, Rabelais et les mots qui fondent comme neige »